En 1984, soit bien avant le diptyque de Jean-François Richet, Mesrine a vu sa vie portée à l’écran par Alain Genovès. Si le film n’a pas marqué son époque autant que le personnage dont il s’inspire, une scène, elle, est restée : celle du testament de Mesrine.
Une scène portée par une musique pompant allègrement le thème de Midnight Express, par des mots qui portent, et par la présence physique de l’acteur Nicolas Silberg, surtout à la fin.
Une scène qui nous rappelle, s’il le fallait, que l’important c’est de continuer de danser.
Fait amusant : comme signalé dans la description de l’extrait sur youtube, le morceau a été samplé par le 113 dans le morceau marginal. Ce qui prouve encore une fois que les grands se reconnaissent mutuellement.